* 51 % des investisseurs préfèrent le modèle canadien des frais intégrés, qui est le plus répandu actuellement.
* 41 % aimeraient mieux verser un paiement direct à leur conseiller.
Fait à noter, quand on leur a demandé s’ils conserveraient leur conseiller si le paiement direct entraînait une hausse des frais, seulement 16 % des investisseurs ont déclaré que, oui, ils poursuivraient leur relation d’affaires avec lui.
En réponse à cette sensibilité des participants, l’IFIC signale que, aux États-Unis, le passage aux frais directs sur ce marché a entraîné une hausse des coûts pour de nombreux investisseurs. « Étant donné ce que nous savons des avantages du conseil, nous devons tenir compte de ces conséquences et faire preuve de prudence au moment de réfléchir à une politique de réglementation », prévient l’IFIC.
Autrement, les investisseurs continuent d’avoir un niveau de confiance élevé envers leur conseiller en matière de fonds communs. Presque à l’unanimité (94 %), les participants se fient à la fiabilité des recommandations de leur conseiller et 90 % ont reconnu qu’ils obtiennent de meilleurs rendements que s’ils investissaient eux-mêmes.
Lorsque vient le moment de soupeser les possibilités d’acheter des parts de fonds, encore une fois, une vaste majorité d’investisseurs (83 %) choisissent de s’adresser directement à leur conseiller. Près des deux tiers (63 %) consultent leurs bulletins et 55 % vont visiter leur site Web.
Quant aux produits eux-mêmes, l’IFIC a demandé aux porteurs de parts de noter leur niveau de confiance par rapport à la capacité de chaque produit à les aider à atteindre leurs objectifs financiers. Les fonds communs de placement ont obtenu un niveau de confiance de 81 %, contre 65 % pour les CPG, 61 % pour les obligations, 57 % pour les actions et 33 % pour les FNB.
Pour consulter l’enquête de l’IFIC sur la confiance des investisseurs à l’égard des fonds communs, cliquez ici