Un investisseur ne devrait pas avoir plus du tiers de ses placements boursiers au Canada, estime William-André Nadeau.

L’économie canadienne n’est pas un modèle pour sa capacité d’innovation, croit-il.

Malgré la chute du huard, la croissance des ventes des entreprises exportatrices canadiennes des secteurs non cycliques laisse à désirer. Qu’est-ce qui se passe? Quelles sont les solutions à envisager et quel est l’impact de cette situation sur la diversification géographique d’un portefeuille boursier?