Les investisseurs ont tendance à vendre leurs titres gagnants beaucoup trop tôt et à conserver leurs titres perdants trop longtemps. Cela mine le rendement des portefeuilles.
« J'ai toujours eu de la difficulté à distinguer l'investisseur du spéculateur », écrit André Gosselin, Ph. D. Voici pourquoi.
Nous ne savons pas vendre, écrit André Gosselin. Et ce n'est pas pour les raisons que l'on pense.
Il existe des différences notables entre les marchés boursiers du Canada et des États-Unis. Comment en tirer le meilleur parti ?
Une meilleure connaissance de l’histoire de la spéculation financière nous évite de succomber à la panique lorsque le marché subit une baisse qui dure plus de trois ans, écrit André Gosselin.
Les rendements boursiers les plus élevés proviennent de pays à croissance modérée, explique André Gosselin,
Les proches constituent la principale source d’information des investisseurs. Est-il étonnant que leur rendement annuel soit quatre fois inférieur à celui de la Bourse ?
Les risques associés à cette approche semblent souvent liés à d'autres facteurs que l'état des Bourses, explique André Gosselin.
Sur quels critères reposent les stratégies les plus solides ? André Gosselin explore la question.
Vos clients et vous ne réagissez souvent pas assez vite aux nouvelles financières, ce qui affecte les rendements, écrit André Gosselin. Mais d'autres savent en tirer profit...