- 1 283 $ en moyenne pour des voyages de fin de semaine et des vacances estivales de plus longue durée;
- 350 $ pour des achats spontanés;
- 368 $ pour les repas au restaurant, les sorties et autres loisirs;
- 379 $ pour les articles de consommation saisonniers (vêtements, équipement sportif, activités des enfants).
Des impacts attendus en hiver
Selon le sondage, les personnes ayant dépassé leur budget ont pigé ailleurs : recours au compte d’épargne, coupes d’autres dépenses, hausse de l’endettement (crédit), report des remboursements de dettes courantes.
Des conséquences sont à prévoir pour les mois d’hiver.
« Il peut être particulièrement tentant, durant les mois d’été, de puiser dans ses épargnes et de s’endetter un peu plus, commente Tony Tintinalli, vice-président régional à BMO Banque de Montréal. Les activités supplémentaires de l’été peuvent rapidement devenir un poids financier une fois l’hiver venu, en particulier lorsqu’il faut trouver un équilibre entre des remboursements sur la dette plus importants, les dépenses pour les fêtes de fin d’année, et les coûts supplémentaires associés à l’hiver canadien. »
Financement des dépenses supplémentaires | Échelle nationale | |
Épargne existante | 48 % | |
Réduction des dépenses dans d’autres secteurs au cours de l’été | 35 % | |
Endettement supplémentaire ou report des remboursements sur les dettes existantes | 27 % | |
Réduction des dépenses pour les fêtes de fin d’année ou annulation des vacances d’hiver | 20 % |
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