À ce jour, plus de 80 % des Québécois n’effectuent toujours pas de placements en ligne. Ils sont, selon un récent sondage de la TD, à peine 17 % à le faire. Et parmi ces derniers, deux tiers sont des hommes. Les investisseurs de la province sont cependant de plus en plus nombreux à y penser : 30 % flirtent avec cette idée.

Mais cela ne signifie pas pour autant que les Québécois sont près de se passer des services des conseillers en services financiers, loin s’en faut. Plus de la moitié des 6 015 investisseurs sondés admettent avoir besoin de l’aide d’un conseiller ou d’un comptable, selon Calvin MacInnis, président, Placements directs TD.

L’étude souligne également qu’il n’est pas nécessaire d’être riche pour pouvoir investir en ligne : les gens qui ont moins de 100 000 $ d’actif sont ceux qui se tournent le plus naturellement vers ce type d’outil.

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