La popularité de l’accès à la propriété a poussé les Québécois à payer le fort prix pour les maisons et amené l’endettement hypothécaire à des niveaux record, ce qui les rendrait vulnérables à un choc advenant une hausse des taux d’intérêt.
Fitch a établi sa mesure de surévaluation en comparant, de 1980 à aujourd’hui, la variation des prix d’un panier de variables incluant notamment le taux de chômage, les taux hypothécaires, la population et la construction de nouvelles propriétés.