Accéder à la propriété est un objectif difficile à atteindre.
Son rang dans un palmarès mondial n’augure rien de bon.
Malgré certaines similitudes avec la bulle de 2008-2009.
L'insécurité d’emploi complique leurs achats immobiliers.
Il demeure néanmoins très bas, tempèrent les économistes.
Il en va tout autrement à Vancouver.
Un investisseur chinois pourrait bien avoir conclu l'affaire du siècle.
Pendant ce temps, Ottawa songerait à hausser la mise de fonds minimale pour acheter.
Deux économistes du Fonds monétaire international soulèvent la question.
Les taux hypothécaires pourraient suivre.