Leurs plans de simulation de faillite laissent à désirer, croient les régulateurs.
Elle était accusée d’avoir vendu des produits douteux entre 2005 et 2007.
Goldman Sachs a resserré les règles imposées à ses conseillers depuis la crise.
La banque doit verser 3,2 G$ US pour avoir contribué à la crise de 2008.
Elle écope d'une amende de 5 G$, pourtant jugée clémente...
Elles se seraient entendues pour empêcher des swaps de taux d'intérêt.
Depuis 2008, cela représente tout de même l’équivalent du PIB annuel de la Grèce...
Le PDG de Goldman Sachs change son fusil d'épaule et critique sévèrement la Chine.
Des investisseurs obtiennent près de 2 milliards en compensation.
Plusieurs banques sont soupçonnées d’avoir manipulé des obligations.