Voyez les réactions des deux parties.
Les intimés proposaient des investissements illégaux dans des portions d'œuvres.
L'homme s’est approprié environ 172 000 $ en falsifiant plus de 250 chèques.
Déjà visés par des poursuites pénales, les intimés sont maintenant interdits d'opération.
Il a reconnu sa culpabilité aux trois chefs d'accusation déposés par l'AMF.
Il passera les dix prochaines années derrière les barreaux.
Polices exorbitantes, non-respect des besoins, spéculation sur la vie de son client…
Pour, notamment, exercice illégal de l’activité de courtier.
Les entreprises de dix employés et moins auront dorénavant accès à la Division des petites créances.
Vincent Lacroix est libre. L'industrie, elle, n'est pas libérée de ses principales problématiques.