Les ventes à découvert abusives sont notamment visées.
Ils sont poursuivis aux États-Unis.
Cet individu l’a appris à la dure.
Les complices du « roi du penny stock » écopent à leur tour.
Des investisseurs obtiennent près de 2 milliards en compensation.
Il a commis un délit d'initié en plus de manipuler le marché.
Faire l'autopromotion de titres sur le web, même anonymement, ne passe pas inaperçu...
Le Canada et le Québec pourraient-ils s'en inspirer?